(m) Agent de la DEA & Grand-frère | Ancien militaire & Taulard | Cubain Surprotecteur & Coureur de jupons

Always together, against everyone ➸ Ta première petite sœur, celle qui illumina tes journées si triste et solitaire d'enfant unique que tu ressentais depuis tes trois premières années de vie. Dès que ton regard rencontra le sien, tu te promis de tout mettre en oeuvre pour la rendre heureuse et pour la protéger contre tous les dangers existants. Tu l'aimais et l'aimes encore d'un amour fraternel inconditionnel que tu ne cesse de lui démontrer chaque jour. Son sourire, sa joie, son sourire sont à présent les seuls moteurs dans ta vie, te faisant avancer chaque jour pour te montrer digne d'être le grand-frère qu'elle mérite d'avoir. Même si tu as toujours aimé tous les cadets de la fratrie Espinozá, tu dois bien avouer qu'avec Ana-María vous partagiez une complicité et une complémentarité nées de cette maturité et indépendance que vous dûmes prendre très rapidement pour vous occuper des deux plus jeunes, Andreas et Aítana lorsque vos parents rentraient très tard de leurs différents emplois ingrats et sous-payés. Tu eu une enfance heureuse et paisible malgré les conditions de pauvreté et la dangerosité des rues du quartier, partageant ta chambre avec toute la fratrie dans une petite ambiance de colonie de vacance.
Etant donné le peu d'année vous séparant, tu étais souvent dans le même établissement scolaire qu'Ana-María, veillant du coin de l'oeil sur elle et corrigeant voir menaçant subtilement les garçons s'approchant à trop près à ton goût de cette dernière. Elle te taquinait en te disant trop protecteur, pour toi cela était plus un compliment, car après tout n'est-ce-pas le rôle de l'aîné de veiller sur tous les autres?
Avant de rejoindre l'armée, tu surpris un soir Ana-María dans la rue en train de coller de nombreuses affiches polémique critiquant le régime dictatorial et autoritaire sévissant à Cuba, tu l'encouragea pour sa démarche et fus même très fière de son côté combative et révolutionnaire tout en t'inquiétant pour sa sécurité, car tu savais très bien comment terminaient les opposants au régime. Ce ne fut donc sans surprise que tu t'allia à elle sans réfléchir ni condition lorsqu'elle t'exposa son idée d'aider les cubains le souhaitant à fuir dans les meilleurs conditions qui soit le pays au bord de l'implosion. Durant trois ans vous œuvrèrent ensemble dans le plus grand secret sans rien dire ni à vos parents ni à vos cadets pour trouver des contacts et mettre en place cette petite organisation illégale. Un an après avoir revêtu l'uniforme militaire, lors d'une permission exceptionnelle tu décidas de passer un week-end entier auprès des siens, récupérant Ana-María au lycée tu étais sur le trajet du collège que fréquentaient Andreas et Aítana lorsque tu vis une scène qui te marqua à tout jamais. Un policier, arme au poing tira distinctement sur ton petit frère, en pleine tête tout en continuant à mitrailler son corps déjà sans vie alors que ce dernier s'amusait à faire des roues arrières en vélo juste devant le bâtiment scolaire. Vous assistèrent à ce drame et coururent à en perdre haleine au chevet d'Andreas aussi froid que la mort, vous traumatisant à tout jamais. Depuis ce jour, tu voues une haine immense aux autorités de ton île natale, de plus tu n'as jamais réellement réussis à faire le deuil de ton seul et unique frère que tu aimais tant. A présent trois enfants, vous restèrent toujours aussi soudés et présents les uns pour les autres.
Plus tu prenais du grade au sein de l'armée, plus votre petite organisation avec Ana-María prenait de l'ampleur, vous sauvèrent gratuitement tout deux de nombreuses familles vous sollicitant pour trouver la paix dans un autre pays de l'Amérique du Sud voir aux Etats-Unis. Voyant Cuba sombrant progressivement dans le chaos, vous décidèrent d'organiser avec minutie, grâce à vos économies, la fuite de vos parents et d'Aítana vers le pays de l'Oncle Sam pour les mettre en sécurité. Leur promettant de les rejoindre très bientôt car il était risqué de partir aussi nombreux, qui plus est vous aviez tant d'autres personnes qui comptaient sur vous. Ce fut un grève cœur lorsque vous vous retrouvèrent que tous les deux dans la maison de votre enfance, mais cette adversité vous rapprocha encore plus, vous soutenant comme jamais auparavant. Et lorsque les forces de l'ordre enfoncèrent la porte d'entrée pour vous arrêter par rapport à votre organisation, tu n'hésitas pas une seule seconde à te porter pour seul responsable  et créateur de cette dernière, plaidant coupable pour sauver Ana-María et la préserver. Passant cinq longues années en prison entre faim extrême, condition de détention déplorable ne respectant nullement les Droits des Hommes, torture, sévices et présence répétées dans le couloir de la mort, tu retrouvas miraculeusement la lumière du jour grâce à ta sœur qui s'était battue de toute ses forces pour te faire recouvrer la liberté. Tu lui en sera éternellement reconnaissant, qui plus est, elle te surprit en assurant vos arrières en t'annonçant que vous étiez à présent en règle pour franchir en toute légalité la frontière américaine. Obtenant pour elle une carte verte professionnelle et pour toi un asile politique. Tu as conscience que tu lui doit ta vie au centuple!
Impatient de retrouver tes parents et ta petite sœur Aítana, que tu n'avais pas revus depuis plus de sept ans, tu ne te doutais pas que le soir de votre arrivée à l'aéroport alors que vous étiez coincés dans les bouchons New-Yorkais pour vous rendre au petit Food-Truck Cubain tenus par ta famille sur Coney Island, que ces derniers se feraient sauvagement assassinés par des tueurs cagoulés qui terminèrent leur massacre en mettant le feu à la scène de crime avant de brûler une heure plus tard leur appartement dans le Bronx. En un claquement de doigt tu venais de perdre toute ta famille, celle que tu aimais tant et pour qui tu étais près à tout, sans rien pouvoir faire. Seule Ana-María était encore en vie. Ce nouveau drame et deuil fut extrêmement difficile à surmonter, tu luttes encore aujourd'hui contre pour ne pas sombrer. Ta sœur, la seule restante, vous trouva un appartement dans un des quartiers de Manhattan après plusieurs nuits à l'hôtel et furent présents l'un pour l'autre pour surmonter cette nouvelle épreuve. Aujourd'hui, tu as repris ta vie en main grâce à elle et tente de te reconstruire et construire ta nouvelle existence américaine grâce à ta prise de poste récente à DEA. Ton côté surprotecteur envers Ana-María n'a cessé de s'accroître depuis tous ces événements, te rendant malgré tout un poil étouffant.

Rest in peace my sweet sister, my angel ➸ La petite dernière de la fratrie, ton rayon soleil dont le sourire et le rire cristallin illuminait à coup sûr tes journées. Venant très difficilement au monde, Aítana a bien faillit mourir le jour de sa naissance néanmoins la combativité face à l'adversité des Espinozá lui permit de se faire sa place dans votre famille et dans ton cœur. Dès l'instant où vos yeux se croisèrent, tu fis le serment de la protéger, de la rendre heureuse jours après jours et d'être constamment présent pour elle. Et ce fut le cas, même si tu ne pouvais guère la préserver continuellement des horreurs du monde dans lequel vous viviez, tu comptais sur Andreas avec qui elle avait l'âge le plus proche et qu'elle côtoyait davantage à l'école. La choyant, tu étais prêt à tout pour qu'elle conserve sa joie, sa pureté et son innocence à tout jamais.
L'une des images te marquant le plus fut son visage encore poupin lorsqu'à 18 ans tu partis pour l'Armée, ce dernier était emplit de larme ne s'arrêtant guère et te suppliant de rester avec elle car elle t'aimait énormément. Te mettant à sa hauteur, tu lui promis de lui écrire des lettres toutes les semaines et que même si vous étiez éloignés géographiquement elle restera pour toujours dans ton cœur. Se jetant dans tes bras tel un bébé koala tu profitas de cet instant de bonheur entouré de toute ta famille. Un an plus tard, lors d'une de ta première permission depuis ton engagement, tu les retrouva tous dans des circonstances malheureuses. Assistant impuissant à l'assassinat de ton seul et unique frère, pleurant sa mort tu tentas d'empêcher les yeux purs d'Aítana de voir le corps d'Andreas criblé de balles, la tête explosé et éparpillé au sol. Cette dernière te fila entre les doigts et assista à cette vision horrible. Le deuil et la perte vous souda plus encore que jamais et exacerba plus encore ton côté protecteur envers tes deux seules et uniques sœurs.
Néanmoins quatre ans plus tard, tu fus obligé de te résoudre à la laisser partir pour son bien et sa sécurité. Avec Ana-María vous utilisèrent votre réseau ainsi qu'une grosse enveloppe pour permettre à la cadette ainsi qu'à vos parents de fuir Cuba alors au bord de la guerre civile, les amenant à vivre dans la clandestinité jusqu'à atteindre le graal: les Etats-Unis. Tu ignorais et l'ignore encore toujours toutes les épreuves et la dureté de ce voyage qui dura presque une année entière. Tu aurais aimé avoir de leurs nouvelles, mais avant d'apprendre leur arrivé sur la terre promise tu fus arrêté et emprisonné. Les lois étant aussi stricts qu'autoritaire, en cinq années derrière les barreaux tu eu miraculeusement que deux visites d'Ana-María te racontant les échanges épistolaires qu'elle entretenait avec Aítana. Soulagé, lorsque tu te retrouvais seul le soir dans ta cellule, endoloris par les sévices et la torture que tu subissais, il t'arrivait de rêver de la vie que vous pourriez mener tous les cinq à New-York, devenant une douce utopie te faisant oublier quelques secondes que tu te trouvais derrière les barreaux.
Lorsque tu sortis enfin grâce aux sacrifices d'Ana-María et que tu appris que vous pouviez enfin partir pour le sol américain en toute légalité, tu te mis à croire que tous les sacrifices et horribles choses que vous aviez vécus étaient à présent loin, très loin derrière vous. Tu te trompais. Vous aviez insisté auprès de vos parents pour que ces derniers ne viennent guère vous chercher à l'aéroport et qu'ils se concentrent sur les nombreux clients qu'ils avaient et qui étaient friands des spécialités cubaines servis dans leur Food-Truck. Prenant un taxi, alors que vous étiez coincés dans les embouteillages New-Yorkais sur Coney Island, tu vis au long un fourgon blindés au vitres teintés attaqué et fusillé le gagne pain familiale avant d'y mettre le feu. Paniqué, tu sortis de la voiture et courus à en perdre haleine jusqu'au lieu de l'attaque déserté et dont cinq corps carbonisés gisaient au sol dont ceux de tes parents et d'Aítana. Prenant Ana-María dans tes bras tu te rendis compte que la violence et la criminalité américaine avaient fait de vous des orphelins, à présent seuls au monde alors que vous étiez si proche de tous vous retrouver.  Tu pleuras très longtemps leur perte, priant le Seigneur de sa miséricorde, l'implorant de t'expliquer cette injustice.
Aujourd'hui, tu portes encore le point de ce deuil impossible à faire, priant pour ton frère, ta mère, ton père et ta sœur te manquant atrocement. Néanmoins ce que tu ignores est que cette dernière a miraculeusement survécut à cette attaque. En effet, Aítana a trouvé refuge dans le Queens où elle tente de reconstruire sa vie vous pensant tous morts et se croyant la seule et unique survivante.
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Thanks for saving her ➸ Tu ne le connais pas encore, ignorant complètement et totalement son existence. Néanmoins c'est en grande partie grâce à ce jeune homme qu'Aítana est en vie. En effet, il y a deux ans de cela, Aítana a échappé à la fusillade déciment toute votre famille grâce à lui. Devant travaillé toute la soirée avec vos parents au Food-Truck, elle avait prétexté des révisions pour pouvoir s'échapper de l'appartement insalubre qu'ils louaient au Bronx pour pouvoir passer l'après-midi en sa compagnie en tant qu'amis. Cinéma, discutions animés, repas, elle ne vit guère le temps passé et le temps qu'elle se rende sur Coney Island, alors qu'elle se trouvait à moins d'un kilomètre de tes parents elle assista horrifié à la tuerie. Incapable de bouger, de réfléchir ou de faire quoi que ce soit sous la pluie commençant à tomber, elle décida malgré tout de trouver refuge dans le Bronx avant de se retrouver prisonnière des flammes. Les assassins ayant mis le feu à ce dernier pour détruire toute trace de l'existence des Espinozá. Réussissant à s'y extirpé de justesse, Aítana trouva refuge chez son ami qui prit soin d'elle. Il l'écouta attentivement et avec patience, lui offrant sans ciller l'hospitalité et un toit chez lui. La sauvant. Tu ne le connais pas encore, mais tu lui en sera extrêmement reconnaissant, même si le jour où tu apprendras ce jeu de séduction entre lui et ta sœur, tu risques de voir rouge et de te méfier de ce dernier car PERSONNE ne touche à Aítana sans ta permission et sans avoir subit un interrogatoire ainsi qu'une inspection digne de ce nom. Comme ton défunt père l'aurait sûrement exigé. De plus, tu ignores aussi que ce mec fait partie du gang des Skulls et que cela est en petite partie de son ressort si ta chère et tendre sœur à intégré ces derniers se métamorphosant en petite cambrioleuse, une pointure du crime naissant. Le jour où tu apprendras tout cela il risque de falloir de nombreuses personnes pour t'empêcher de refaire le portrait de celui que tu jugeras comme un simple petit merdeux de bas étage fourvoyant l'innocence et la pureté de l'âme de ton petit ange.
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The embodiment of rot in all its splendor ➸ L'avocat américain qu'Ana-María avait réussit à enrôler grâce à un petit numéro de charme te débectant pour pouvoir terminer la chaîne de votre petit réseau clandestin à Cuba. En effet, après avoir permis aux Cubains réclamant votre aide de quitter leur pays natale pour s'engager dans un véritable périple clandestin au travers d'une grande partie de l'Amérique du Sud encadré par des passeurs, cet homme avait pour objectif de naturaliser ceux terminant leur course et souhaitant refaire leur vie aux Etats-Unis. Ce qu'il accepta de faire contre une certaine somme d'argent pour chaque client. Bien évidemment, la cupidité au lieu de la bonté. Tu n'as jamais eu l'occasion de le rencontrer ni même d'échanger avec lui, c'était plus ta sœur qui s'en occupait. Néanmoins tu n'as eu de cesse de te demander comment cette dernière pouvait faire confiance à cet homme imbuvable ne voyant que son intérêt financier dans cet affaire. Mais vus qu'il faisait bien son boulot, tu mis en sourdine tes suspicions. Lorsque tes parents et Aítana ont réussis - après une année clandestine à franchir les divers pays de l'Amérique du Sud, puis deux ans sur les routes américaine - à atteindre New-York, cet avocat avait pour mission de les naturaliser comme tous les autres cubains qu'il avait aidé. D'ailleurs, vous lui aviez envoyé une enveloppe plus remplit que d'habitude pour lui faire comprendre l'importance de la chose.
Tu avais raison de te méfier autant de cet homme vicieux, car tu l'ignores encore mais ce dernier profita de la naïveté d'Aítana en faisant traîner les choses et en la persuadant que tout irait plus vite si elle acceptait de s'offrir à lui. Possédant un sens du sacrifice aussi important que le tiens et aimant profondément votre famille, ta petite sœur se laissa à contre cœur salir et souiller par cet avocat sans aucun doute posséder par le diable en personne. Lui prenant sa virginité et son innocence sans aucune douceur, il continua à abuser d'elle avec violence pendant deux longues années en tout impunité. Jusqu'au jour où Aítana découvrit qu'il manquait à son devoir et n'avait entamé aucune procédure judiciaire pour les naturaliser, lui claquant la porte au nez et mettant fin à cette relation empoisonnée. Rien que pour ça, tu serais capable de le torturer et de le tuer de tes propres mains le jour où la vérité éclatera au grand jour. Qui plus est, tu ne sais pas que c'est aussi ce dernier qui a orchestré cette fusillade décimant ta famille en engageant des tueurs professionnels pour éviter que ses activités illégales dont Aítana avait connaissance ne s'ébruitent. Un monstre, un être sans cœur qui a fait tant de mal à ta soeur et à vous tous qui ne mérite qu'une seule et unique chose: mourir dans d'atroces et intangibles souffrances.
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