Ivy ✵ I may be bad but im perfectly good at it.

Née à Saint-Pétersbourg, dans une famille aisée. Elle a une certaine éducation et aime en jouée. Sa famille a des liens de parenté éloignée avec de la royauté Russe... Soi-disant ➸ Parle couramment plusieurs langues, comme le russe, évidemment, l'anglais, le français, le mandarin et l'italien. Est capable de comprendre beaucoup d'autre d'entre elles, même si elle ne tiendrait pas une conversation prolongé ➸ Elle se prénomme Séraphina Isidora, mais depuis l'enfance on la surnomme Ivy, comme le personnage de Comic Poison Ivy. Car depuis toujours c'est une ambitieuse prête à tout pour arrivé à ses fins et avoir ce qu'elle désire. Jusqu'à empoisonner la vie de son entourage ➸ Isis, Sera, ou encore Phina peuvent être d'autre surnom qu'on lui donne, mais il faudra pour cela être dans son entourage très proche. Car depuis des années elle se fait prénommer Ivy➸ Elle a littéralement vendu son âme au diable pour sa survie ➸ Les Sentiments ? Quésaco ? S'oublier, oublier d'être humaine pour régner. Son coeur a souvent été comparer à de la pierre. Pourtant elle n'est en vérité pas si dénuer de sentiments que cela. Elle s'efforce de simplement rien montré ➸ Le pouvoir l'excite, l'amuse, la fond frissonné plus que n'importe quoi d'autre ➸ Elle n'est pas qu'une belle femme, non. Elle est cultivée, intelligente, elle saura s'adapter pour mieux vous empoisonner ➸ Elle a voyagé dans le monde entier, elle adore ça, voir du pays, découvrir. L'un ses véritables plaisirs coupables, avec la musique rock, et les gâteaux ➸ Elle a déjà tué, elle tuera de nouveau, même si elle préfère aujourd'hui déléguer cette tâche ➸ Ivy déteste les enfants, du moins elle n'est jamais à l'aise en leur présence et ne supporte pas les parents qui se font dominer par leur gosse ➸ On a une tendance à lui offrir des fleurs... Elle déteste cela plus que tout ➸ Romantique, pourtant, elle adore regarder les étoiles, lire un livre dans un bon fauteuil devant la cheminée. C'est d'ailleurs devant un bon feu qu'elle préfère faire l'amour ➸ L'alcool, les drogues, elle en a consommé plus que de raison, on l'y a forcé. Aujourd'hui, si elle apprécie un petit verre pour des occasions elle ne supporte plus les abus avec ses addictifs ➸ On la respecte, on l’admire, on la déteste, mais on parle d'elle, et ça elle adore ça ➸ À la tête des Sweet poison depuis 14 ans (elle avait 26 ans). Elle a donné une notoriété mondiale au réseau. Discrète et prudente, si on connaît "Ivy", on ignore bien souvent quel visage associer à ce nom ➸ Son réseau, ses mignons comme elle les appelle, elle les aime au fond plus que tout. La trahir lui déchirera le coeur alors elle vous arrachera le vôtre. Mais faire du mal à sa "famille" et vous finirez au bûcher, au bout d'une corde, la tête séparée du coeur, écarteler, dépecer... Et j'en passe. ➸ Les animaux sont pour elle les seuls êtres qui valent vraiment le coup sur cette terre. Elle donne régulièrement de grosses sommes à des associations comme la WWF et d'autres pour leur protection, préservation ➸ Adore la cuisine, pourrait passer des heures derrière les fourneaux, elle fait souvent des petits gâteaux et même quelques plats pour ses "mignons ➸ Pour faire partie des S.P. il vous faudra forcément passé par elle, directement ou indirectement. Mais faire partie des S.P. est comme signé un contrat avec le diable, le rompre sans conditions vous coûtera cher. En revanche soyez un bons "mignons" et vous saurez être récompensés généreusement ➸ Ivy connaît beaucoup de monde, des gens haut placés et surtout leurs vices. De quoi faire chanter pas mal de personnes sur cette terre ➸ Elle n'aime pas beaucoup parler en réalité ➸ Secrète sur sa vie, vous ne saurez que ce qu'elle veut bien vous dire. Vérité ou mensonge, vous ne saurez jamais. Ivy elle mène son monde à la baguette, comme un bouclier immense pour se protéger du monde ➸ La guerre des gangs c'est pour elle comme une partie de chaise musicale où elle serait le D.J. Elle s'en amuse et si elle se méfie globalement des scorpions car elle leur a volé le GP. elle ne craint en revanche pas tellement les skulls, ils font leur affaire, elle fait les siennes.

Séraphina Isidora est venue au monde lors d'un bel été russe. Elle a suivi de près deux autres Sokolov, des garçons. Matvei le plus grand à quatre ans de plus qu'elle et Sergei en a deux. Deux beaux garçons aux traits typiques russes. Sokolov, ce nom ne vous dit vraiment rien . Pourtant, en Russie, on le connaît. Médecin royal à une époque, on évoque vaguement un lien de parenté ensuite. Mais Phina n'a jamais accordé la moindre importance à ses dires. Même si grandir dans l'ombre d'un tel nom a ses avantages. Une certaine aisance financière est évidente, un certain niveau de vie et d'éducation également. Séraphina n'a jamais manqué de rien, bien au contraire même. Première fille de la famille, Princesse, élevée comme tel. Bonne manière et rude éducation, parents absents et bêtises passer sous silence. Isis a toujours fait sa loi, elle a toujours eu ce qu'elle désirait et bien au-delà. Cherchant à toujours en avoir plus. Son jeu favori a toujours été de pousser les limites, voir si elle arriverait à les atteindre et malheureusement elles semblent chaque fois un peu plus lointaines.

Sa vie d'enfant a été ponctuée de caprices, de volupté, de luxure, d'excès toujours plus fous. Sa famille, ses parents l'ont toujours gâtée, son frère aîné Matvei surprotégé, seul Sergei a toujours été conscient de son pouvoir. Lui seul à toujours imposer des limites à sa petite soeur. Autant vous dire que cela ne lui a jamais réellement plus. En confit constant, Séraphina a toujours eu le dernier mot malgré tout. C'est lui, Sergei qui l'a surnommée pour la première fois "Ivy". Comme cette créature de ses comics, qu'il passait son temps à lire. Les Sokolov ont accueilli une autre princesse dans la famille, dix ans après Isidora. Si au départ jouer les mamans avec ce poupon vivant était un plaisir pour Séra, elle se lassa vite et comprit que cette "chose" mettait en péril sa place au sein de la famille. Mais avec les années, cette soeur presque détestée, qui était elle aussi devenue aussi admirative de la flamboyante princesse Sokolov trouva sa place dans le coeur de sa soeur.

Élève modèle malgré tout, avide de connaissance. Ivy avait vite compris que la connaissance est une forme de pouvoir. Et Dieu seul sait à quel point elle aime le pouvoir Ivy. Reine de son école, élevée au rang d'irone, belle et désirable. Elle a toujours été de celle qu'on admire, celle qu'on écoute. Pourtant, sa passion fulgurante pour la vie et sa luxure semble se calmer lorsqu'elle fait la connaissance d'un certain Vitali. Un garçon simple, un petit campagnard, fils de fermier qui a tout perdu dans un incendie, placer en famille d’accueil dans le quartier. Il est plus jeune d'une année qu'elle, mais il a la maturité d'un homme déjà. Et elle le veut... Lui et personne d'autre. Sauf que lui est loin de toutes ses frasques de toutes ses envies plus abracadabrant les unes que les autres.

Vous connaissez le proverbe "suis-moi, je te fuis. Fuis-moi, je te suis" ? Et bien, il résume parfaitement la relation que Vitali et Séraphina. Si elle abuse des gens, elle reste cette princesse chaste et pure, vierge de tout vice. L'alcool, la drogue ? Très peu pour elle, abîmer son corps, son visage avec ses saloperies. Aucunement. Le sexe ? C'est lui qu'elle veut, c'est lui qu'elle aura... Elle a 15 ans. Il n'apprécie pas sa personnalité excessive et princière, alors elle va changer pour lui...

Elle a changé Isidora, elle est devenue une jeune fille respectable, presque adorable. Gentille et douce, qui pense aux autres avant elle. Enfin surtout à lui Vitali. Elle a changé pour lui. Mais pourquoi au final ?

Un peu plus d'un an plus tard, le Noël de ses 16 ans, le Noël qui fera qu'elle détestera à tout jamais cette fête le restant de sa vie. Toute la famille Sokolov est présente pour une fête intimiste, seul intrus dans ce petit cocon familial Vitali. Qui a été généreusement invité à se joindre à la famille. Sergei ne cesse de remercier le jeune garçon d'avoir transformé sa sœur. Le repas se passe à merveille, la petite princesse devenue un demi-ange est ravi d'intégrer pleinement celui qui sera un jour son mari à sa famille. Elle en est tellement persuadée. Leur idylle est parfaite. Trop parfaite peut-être... Car voilà que juste quand le dessert arrive sur la table, on toque à la porte de la belle maison bourgeoise. Intrigué, M. Sokolov se lève. Des chants de Noël ? Possible, mais il est bien tard pour cela à présent. La porte s'ouvre et toute la petite famille se pétrifie alors que le patriarche revient dans la salle à manger accompagné de plusieurs hommes armés. Prise en joue les mains en l'air, la petite famille n'a pas d'autre choix que de se mettre en ligne à genoux face aux hommes. Le père rejoint les rangs avec violence tandis que Séraphina, elle est mise debout. La famille supplie de ne pas lui faire de mal. Un rire se fait alors derrière les hommes en noir. Un homme tout de blanc vêtu fait son apparition. Si les autres ont un foulard pour masquer leur visage, lui non. Il salue M. Sokolov comme s'il se connaissait. Et l'évidence viendra avec ses paroles. Les Sokolov ont une vie de pacha, mais voilà en réalité bien longtemps qu'ils n'ont plus les moyens de vivre ainsi. Déjà presque ruinée avec la génération précédente, celle-ci, avide de consumérisme à outrance n'a pas fait qu'enfoncer le couteau dans une plaie déjà béante. Mais les Sokolov ne se rabaissent pas ! Non jamais. Alors M. Sokolov, seul dans cette confidence désastreuse à être fait divers prêts envers la mafia Russe. Mais aujourd'hui, il faut rembourser. Et ils n'en ont pas les moyens. Alors cela sera la mort !

Un détail attire l'attention de Phina, Vitali, il n'est pas aligné avec sa famille, non, il est aux côtés de ses hommes. Mensonge, trahison... Il est depuis le début avec eux. En mission pour infiltrer la famille, comprendre ce qui les touchera le plus. Et il le sait... Séraphina. La princesse tant aimée de la famille. L'homme en blanc prononcera la sentence. La princesse sera réduite en esclavage pour une branche de la Mafia russe spécialisé dans le marché de l'humain et de ses plaisirs. Matvei dans un élan de protection tentera de se relever et de maîtriser les hommes, mais il ne fera qu'un pas avant de s’effondrer d'une balle en plein crâne sous les hurlements du reste des otages. Isidora restera de marbre, horrifier. Perdant une partie d'elle-même et de son âme innocente. Chaque fois, un peu plus alors que les coups de feu s'enchaînent. Chaque Sokolov, mourant sachant que fille/soeur tant aimée vivra l'enfer entre les griffes de tordus. Choquée, incapable de réagir face à ce qui se passera sous ses yeux n'impriment la triste réalité que bien plus tard Isadora sera emmené les yeux bandés dans un QG loin, bien loin de sa belle maison bourgeoise.

Si elle tenta de se rebeller au départ, on la drogua de force comme la plupart des autres "chiennes" ici pour les rendre plus dociles. Accroc malgré elle, quel autre choix s'offrait à elle. Vendue comme du bétail pour un soir pour une heure, une danse, un acte sexuel. Elle n'est pas majeure quand sa vie bascule, mais c'est ce qu'ils aiment, eux les pervers. Les conditions sont épouvantables, parquées dans de petites pièces, les unes sur les autres, une salle d'eau pour dix si ce n'est quinze. Un repas par jour en plus de quelques gâteaux de temps à autre. Aucune des filles n'est ici par plaisir, la plupart ont été arrachées à la rue, imaginant une vie meilleure. Quelque rare comme Séraphina sont des dû, des filles de plus ou moins bonnes famille, qui comme les Sokolov s'est crue au-dessus des autres. Mais Phina, elle ne baisse pas les bras, si sa vie est une succession de décadence et de déchéance. Au fond d'elle bouille, elle encaisse, elle emmagasine. Un jour, elle sortira de là. Et ce jour-là ils payeront pour ce qu'ils ont fait.

Dix ans, elle passera dix ans dans cet enfer. Mais le moment de se venger était venu. Des années qu'elle préparait cela. Le sexe, la luxure à un pouvoir extraordinaire. Les hommes parles, beaucoup trop pour avoir un bout de chair. Isis elle l'a apprit avec le temps et elle à sût s'en servir. Au détour de quelques conversation avec les moins camé de son bloque d'esclave, tel une prisonnière faisans son trafic. Isis, la douce, l'innocente, elle n'était plus. Et elle allait le prouver à ses geôliers.

Vitali ? Elle le croisait du regard parfois lorsqu'on la transférait vers une salle pour faire son travail. Des bruits circulaient entre les filles. Il l'aimait, assez pour avoir trahi son propre père, le chef de ce réseau. Car oui, Séraphia n'était plus vierge alors qu'elle était réduite en esclavage. Un "cadeau" offert pour son 16e anniversaire à celui qu'elle aimait. Il n'aurait jamais dû l'accepter. Elle se serait vendue si cher. Le prix a payé pour lui ? Trouvé d'autres filles, encore plus toujours plus. Rembourser sa dette, ne jamais la revoir... C'était, du moins, ce qu'on racontait.

Tout était en place ce soir-là. Ses complices, certains des clients, trop bavard. Isis avait monté un plan. Simple mais efficace. Pas trop dure, pour ne pas se mettre la mafia à dos, les Big Boss. Juste assez pour faire couleur cette branche du réseau. Faire comprendre qu'on ne se jouait pas d'une Sokolov si facilement. Elle avait vingt-six ans, elle allait faire tomber une partie des criminels les plus dangereux de la Russie. Le signal était donné, comme une vague déferlante les esclaves se déchaînèrent. On appuyait sur les boutons, laçant tour à tour les informations de certains gros bonnets de la ville, parfois du pays en direct. Des vidéos compromettantes, des courriers qu'il n'aurait jamais valus qu'il soit publié... Et tant d'autres petite chose qui unique fond mal, mais ne détruise pas. Mais réunis provoque un cataclysme sans précédent. Visé haut, mais pas trop... Faire comprendre que même enfermé, bâillonner, prostituée, une femme est capable de tout pour sa liberté.

Si Séraphina avait construit le mur de la rébellion, brique après brique année après année. Ce soir, elle avait un objectif. Ce soir, il allait mourir pour l'avoir trahi ! Alors que le chaos régnait dans les locaux du réseau des futures Sweet poison (car oui, évidemment, le nom était bien autre avant). Isis se dirigea vers celui qu'elle avait aimé. Elle connaissait son adresse, cela n'avait pas été bien compliqué de l’obtenir. Elle avait attendu qu'il rentre. Coucher sur son lit, nue, une lame poser devant elle. Ses cheveux flamboyants comme unique parure et armure, elle s'était faite plus belle que jamais. Vitali avait eu un mouvement de recul en la voyant, alors qu'il ôtait son tee-shirt, une habitude. « Je ne suis donc que cela pour toi ? » Avait-elle laissé entendre. Si elle avait retourné mille fois cet instant dans son esprit, jamais, au grand jamais elle ne se serait attendu à la suite. Dévoré par une haine sans limite, chacun de ses scénarios se finissait dans un bain de sang. De l'un ou de l'autre. Mais Vitali s'excusa... Oui, elle n'était qu'une mission, au début. Mais elle était sa première et ce qu'elle avait fait pour lui. Changer, devenir une fille "bien", il avait fini par l'aimer, plus que de raison. Comme jamais on ne l'avait aimé lui. Fils de... Succédant à l'un des plus cruels hommes de cette chère Russie, sans aucune âme, il avait appris à enfermer la sienne dans une boîte. Mais elle, uniquement elle, l'avait fait sortir de son placard. Il n'avait pu faire autrement. Elle devait elle aussi mourir. Mais il l'a sauvée... « A quel prix ! » lui crachait-elle au visage. Une vie d'esclavage ? Non ! Non, il jurait que non. Qu'il aurait trouvé une solution, que quand il aurait été à la tête d réseau il l'aurait sortie de là. Mais dans combien de temps ? Il ne la supplia pas pour sa vie, bien au contraire. Il n'avait jamais supporté la sienne, mais s'était toujours persuadé qu'il changerait les choses, un jour. Isis s'était levée, saisissant le couteau, s'était approché de l'homme. Elle lui mit sous la gorge et... Rien. Si la lame sectionna légèrement sa peau, elle fut incapable de la lacérer. Cette haine, qui l'animait, se retournait contre elle. Dix ans, dix ans qu'elle attendait de le voir nager dans son propre sang. Et elle était incapable de lui trancher la gorge... Pitoyable !

Il l'embrassa, si elle le repoussa la première fois, la seconde fut la bonne. Elle l'aimait. C'était lui. Elle n'avait toujours voulu que luire au milieu de tous ses adolescents. Elle avait changé pour lui... Et elle devenait faible de nouveau pour lui. Violence, amour, comme une danse qu'ils entamaient alors. Elle se retrouva sur lui. Et un instant, ainsi en position de puissance face à lui, elle hésita de nouveau. Le couteau qu'elle n'avait pas lâché pointé vers sa poitrine. Au-dessus de son coeur. En rythme avec leur souffle devenue cours et rapide. Elle hésita à enfoncer la lame. Il ne résista même pas. Se laissant faire au bon vouloir de celle qu'il aimait. Comme chassant cette contradiction de son esprit, elle laissa la lame s’effiler sur sa peau. L'entaillant cette fois-ci assez profondément pour lui laisser une marque. Pas assez pour le tuer. Si l'homme avait grincé par réflexe, il n'avait qu'à peine bouger. Attendant que sa gorge déployer soit la suivante. Mais Isidora lâcha alors son arme une fois son geste vif et sanglant effectuer. Se relevant avant de commettre l'irréparable. Le pardonner . Elle ne le pouvait pas. L'aimer, c'était plus fort qu'elle. « Pars, loin... Ce soir, ton père va mourir. Ce soir, je deviens reine. Et je te couperai la tête si ton chemin croise de nouveau le mien. »

Isidora avait disparu dans la nuit, telle une chasseuse experte. Sa prochaine proie dans son viseur. Le chef du réseau, celui qui avait tué sa famille, l'homme en blanc. Le père de Vitali. Elle n'avait pas choisi ce soir-là par hasard. Ce soir comme tous les premiers mercredis du mois, il passait une soirée "particulière" avec quelques amis... Loin de tout contact, c'était sa soirée off. Mais ce soir Isis, c'était le surnom qu'on lui donnait pour son travail, allait mettre fin définitivement à sa vie. S'incrustant sans grand mal dans cette orgie géante et privilégiée. Elle avait versé un puissant poison dans un verre qu'elle fit livrer par une de ses complices au grand patron. Qui le bue sans méfiance, connaissant la pauvre fille. Et c'est en regardant l'homme s'étouffer dans sa propre salive, nu comme un ver dans un de ses jacuzzis, le pénis bien dur. Isis l'esclave était devenue Ivy la reine.

Ivy avait repris le flambeau du réseau, elle l'avait renommé les Sweet poison, un clin d'oeil à bien des choses de son passé. "Poison" comme Poison Ivy, le surnom que lui donnait son défunt frère avec qui elle ne s'entendait certes pas le mieux, mais qui l'avait aimé assez pour oser lui faire comprendre que son comportement était inacceptable. Peut-être que si elle l'avait écouté, tout cela ne se serait jamais passé... Peut-être que les choses auraient été différentes. Et "Sweet" parce qu'un peu de douceur quand on est une rose piquante, un poison vivant, c'est toujours agréable. Les années passaient et les Sweet Poison se faisaient un nom en Russie. Toujours plus ou moins affilier à la mafia Russe. Ivy avait d'ambition dans la vie et notamment d'étendre le réseau. D'aider ses pauvres filles et hommes qui un jour comme elles seraient esclaves de plus puissant. Car oui si elle avait bien repris le réseau ce n'était pas pour copier et coller leur mode de fonctionnement mais pour l’embellir, le rendre attractif, sauver des vies. D'une certaine façon dirons-nous. Le pouvoir de la connaissance était la plus grande dangerosité de ce monde et quoi de mieux que le jeu de la chair et dû désire pour subtiliser ce pouvoir sans être remarqué. Ivy était devenue reine ainsi... Et elle dominerait le monde de la criminalité sexuelle ainsi. Oh évidemment ce ne fut pas toujours facile, il y eut des haut des bas. Elle manqua de se faire tuer plus d'une fois, son réseau connut de gros soucis manquant de prudence. Mais ont appris de nos erreurs n'est-ce pas ?

Aujourd'hui les Sweet Poison sont actifs dans toute l'Europe, leader dans leur domaine. Si on reconnaît parfois le bienfait de cette institution du crime de chair. Qui prendprends soin de ses "produits". Qui leur permet une vie décente. Ivy a décidé de s'attaquer à plus gros, les États-Unis étant à présent dans son viseur. Mais s'attaquer à l'un des géants du crime organisé n'est pas chose aisée. Ivy doit prendre toutes les précautions possibles. Cela tombe bien, alors qu'elle cherchait un moyen de s'implanter, elle entendu parler du chut d'an célèbre établissement. Le Guilty Pleasure, à New York. Parfait. Elle ne pouvait rêver meilleure occasion. Mais il fallait se montrer patiente, montré ses gros sabots juste après une décente, racheter un bâtiment qui a été le QG de criminel aussi rapidement ne serait pas prudent. Envoyant son plus gros "mouton" sur place, un ancien client qui lui doit tellement qu'il est à sa botte aujourd'hui. Elle le laisse en reconnaissance une année avant d'elle aussi venir sur place. Mettant ainsi doucement en place son plan pour récupérer l'établissement qui a tant fait jaser sans pour autant attiré trop l'attention sur elle, sur eux.

Janvier 2019, le Guilty Pleasure rouvre ses portes après 4 ans de fermeture. L'effervescence est présente, les médias, la ville a les yeux tourner dessus. Ivy est en première ligne, sans pour autant se mettre en danger. Elle sait que sa couverture sera difficile à deviner, si elle n'est pas infaillible. Aujourd'hui elle a beaucoup appris de la vie et de ses erreurs. Son réseau est bien assez étendu pour protéger ses arrières et se relever rapidement de coup dure. Aujourd'hui elle est spectatrice de deux gros gangs qui se font la guerre en ville. Ayant subtilisé à l'un d'eux le G.P. sous leur nez. Elle s'amuse de la situation et aime parfois jeter un nono dans la cour pour raviver la guéguerre qui sévit ici. Combien de temps son jeu durera-t-il ? Elle ne le sait pas. Mais elle vient à peine de commencer la partie et croyez-moi, elle est mauvaise perdante. Alors elle ne laissera pas la victoire facilement.