Ultraviolence.

Naïm

Identité

Surnom ➸ shaytan, écho à tes origines. Age ➸ vingt-cinq ans. Date et lieu de naissance ➸ né à Long Branch. A New York depuis ➸ deux ans. Métier/études ➸ au choix, mais dans le clan des sweet poisons. Situation matrimoniale ➸ tu te considères en couple avec Héra, même si rien n'est officiel. Orientation sexuelle ➸ tu aimes les courbes de venus. Célébrité ➸ zayn malik. Groupe ➸ sweet poison.

La criminalité à New York pour vous, c'est ➸ Un business comme un autre, tu as plongé tête baissée sans hésiter pour venir la chercher, la belle, ta fleur. Et maintenant que tu baignes dedans jusqu'au cou, t'as décidé de faire les choses bien, de manière complète. C'est pas bien ? Rien à foutre. C'est ton gagne pain.

Exigences

CE QUI EST NÉGOCIABLE Beaucoup de choses, à commencer par le prénom et le nom puisqu'ils sont au choix. Je ne les ai pas encore utilisé dans le RP. Pour l'avatar, j'ai écrit ce scénario en pensant à Zayn Ultraviolence. 3929005390

mais si il ne te reviens pas il suffit de venir en discuter, du moment qu'il entre dans la tranche d'âge souhaité. Plein d'éléments sont laissés à ton imagination, n'hésite pas à te l'approprier Ultraviolence. 2505627654

CE QUI N'EST PAS NÉGOCIABLE Le lien évidemment. Ultraviolence. 3297746593

Et je crois que c'est tout. Je demande juste quelqu'un de motivé et d'actif. <3

Anecdotes/histoire

(l'histoire est relativement libre)
RÉPUTATION ━ Au commencement il y a le nom, les trois syllabes qui disent toute l'influence, à faire tourner les têtes et frissonner les peaux. Il y a du mysticisme dans tes apparitions : toujours discret, au sommet du monde obscur, marionnettistes qui rodent à l’orée des ombres. "One shall not mess with Surya." Et il y a la votre ; les inséparables jumeaux, princes qui repoussent toutes les attentes. Enfin, la réputation que tu t'es construites. Doué, décidé - celui à suivre et ne surtout pas énerver. Le respect des pairs et des aînés, c'est toi qui l'a gagné. Les autres, écrasés sans pitié. Couronné de ténèbres qui les dépasse, avec sur la face l'indolence narquoise du prédateur. Sous le masque, l'arme aiguisée, l'orage de l'âme déjà morte. Le "bon fond" est une chimère que tu t'amuses à montrer à tes pairs. Tu trompes, triches, manipules. T'as rien du gentil petit gars toi, t'as jamais eu le profil parfait du premier de la classe. turbulent, hyperactif, incontrôlable ou insupportable. Insolent aussi, parce que t'as jamais supporté qu'on te dise quoi faire. Tiens-toi bien. Dit bonjour. Dit merci. Allez vous faire foutre. T'es un putain d'électron libre, qui vas au vent. Parce que t'as pas eu la même chance que ces gosses nés dans l'upper east side, tu penses que tu n'as pas les mêmes règles qu'eu. Toi t'agis à l'instinct, de survie peut-être ou juste de vie, tu sais pas, tu suis tes impulsions bien qu'elle soit mauvaise, tu laisses parler tes poings, ta rage, ton coeur. T'es pas qu'un mauvais bougre, tu sais faire des choses bien, faut juste que l'humanité s'en rend compte.

LA MEUTE ━ Ils ne sont pas normaux les gens du troisième, au fond du palier. Ils sont un peu bizarres. A se reproduire trop facilement. Toutes têtes brunes et écervelées, peau halée et yeux verts/bleus. Une vraie meute, les gens ont arrêté de compter après le cinquième. Le père et la mère qu'on voit pratiquement jamais. Les gosses qu'on entend à peine. Et pourtant, qu'est-ce que ça doit chialer et gueuler, à l'intérieur. Putain, ouais, qu'est-ce que ça palabre. Jamais de calme. Ce sont des mots crachés. Les mots crachés de bouches crasses et âpres et sales et cognables et redoutables et friables et fades et malades et pas stables. Pas stables stables stables, interchangeables. Les mots beaux, les mots brutes. Les mots doux. Infantiles. T'es né dans le bruit, Ilyès. Béton coulé sur vos indiscrétions, béton frappé, clé du secret et béton taiseux. A l'intérieur des murs, on peut dire ce qu'on veut. L'anarchie est reine. A l'extérieur, y'a les voisins, et les oreilles indiscrètes, et autant de gens pour commérer. A l'extérieur, on la ferme.

> Il a été recruté par les S.P il y a deux ans pratiquement au même moment que Héra, et pour cause, il s'est fait recruter juste pour elle, pour la récupérer des griffes d'Ivy.

Héra Braxton

ultraviolence ➸ Fait d'une attirance obsessionnelle, et d'un rejet virulent ; l'histoire du soleil et de la lune ne prend jamais fin pour autant. Fatalité de deux enfants qui se tienne la main depuis trop longtemps maintenant ; tant, que la douceur de leur paume unit s'est, avec lenteur, transformé en nécrose morbide.

Tu les aimes ces moments, où il n’y a plus que vous, ou rien d’autre n’existe, ou rien d’autre n’est important. Quand tu es là, à te donner à lui, rien qu’à lui, qu’il n’y a personne d’autre pour gâcher vos plus beaux moments, votre amour. Tu l’aimes Naïm, depuis le premier jour. Tu l’aimes comme tu n’as jamais aimé personne d’autre avant, tu le sais, même si tu as toujours refusé de l’avouer, de voir la vérité en face. Tu revois son visage adolescent. Tu revois ses opales incandescentes. Tu revois ses lèvres finement dessinées courbées dans un élan romantique, un cœur comme nouvel apparat de grenat. Tu revois ses cheveux, fins et bruns, voleter sous le vent d'une brise légère venue les secouer. Tu te souviens de ses mains entourant ta taille fine, des baisers qu'il déposait au creux de ton cou gracile. De la façon dont tu battais des cils. Et tu te souviens surtout de votre façon d'être des putains d'imbéciles. Pourtant aujourd'hui t’es là, tu vibres pour lui ce soir, t’as les mains expertes sur son corps, les muscles que tu connais par cœur, que tu pratiques souvent. Tu pourrais le dessiner les yeux fermés Naïm, décrire chaque partie de son corps, son odeur, son goût. C’est ce qui explique que en cet instant, c’est à travers ses lèvres que tu respires. Que c’est entre ses mains que tu te sens revivre, le corps frôlant l’ébullition au fil des secondes. Toi qui avait si longtemps enfermer le désir et ton amour dans une petite boîte, que tu ne pensais jamais ressortir, tu te laisses consumer. Tes doigts cherchent sa peau, se faufilent sur des zones interdites. Tu ne trouves déjà plus ton souffle alors que vous n'avez pas vraiment commencé. Jeu du regard, un peu trop complice. Tu n’as jamais eu autant envie de quelqu’un.

> c'est un amour passionné et destructeur qui les lie, il n'y en a jamais assez, c'est toujours dans l'excès. trop jaloux, trop possessif, trop 'trop'. ils se font souvent du mal, font mal aux autres. l'équivalent d'une drogue, lui c'est l'aiguille et elle c'est l'overdose.

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